mercredi 11 juin 2008

Ecoutez-nous samedi 5 juillet !

Comme nous vous l'avions annoncer au début de ce blog, notre projet comportait un débat version émission de radio. Vous pourrez donc nous écouter samedi 5 juillet de 13h30 à 15h30 sur Radio Libertaire dans l'émission de Christiane Passevant, Chroniques Rebelles.



Cliquez sur la bannière pour voir la programmation de cette émission.


Nos invités seront :
Donatella Saulnier, responsable des activités de l'association L'Hippocampe associé, écrivaine.
Le groupe Anatomie Bousculaire, trois musiciennes rock, qui s'autoproduisent. Elles sont également monteuses pour la télévision et pourront nous parler de cet aspect là aussi.


Vous pouvez écouter l'émission en ligne ou sur le 89.4

A très vite sur les ondes !

Maël et Miléna



mardi 8 avril 2008

Culture média et état




Bonjour à tous,

Tout d'abord encore merci pour tous vos commentaires.

J'aimerai aborder avec vous les relations qu'entretiennent les médias publics avec la culture alternatives notamment dans le cadre des chaînes TV et des radios.

Pensez vous que les radios comme France Musique ou encore France Culture sont les vecteurs d'une démocratisation culturelle au sens où elles permettent une découverte de nouvelles cultures alternatives ?


La question se pose également pour les chaînes du groupe France Télévisions.

En fait j'aimerai savoir quelles relations vous entretenez avec ces médias et si vous êtes satisfaits des programmations proposées par ces médias ?

Merci d'avance

mardi 11 mars 2008

Internet et les médiateurs

Tout d'abord merci à tous pour ces commentaires

Mais sur ces questions bassement matérialistes que sont le prix d'un CD ou d'une place de concert je pense que nous devons nous questionner sur la légitimité que l'on accorde trop souvent à un artiste en fonction de sa rentabilité.

Est-ce alors mon tympan qui dysfonctionne ou les nouvelles sorties musicales françaises sont en effet d'une banalité affligeantes.

Autre question, Si Internet est complètement libre et que l'on peut avoir accès à une offre culturelle de plus en plus grande cette offre ne va-t-elle pas se retrouver noyer par un gros tas de pseudo artistes qui bidouillent chez eux des choses qui n'ont absolument aucun intéret?

Ne faut-il pas tout simplement reconnaitre la nécéssité d'un médiateur entre la musique et le public?

Mais si médiateur il y a, comment faire pour le séparer des enjeux économiques qui régissent ce petit monde?????

vendredi 29 février 2008

Gratuité pour tous

Aujourd'hui tout se télécharge et les théories sur l'avenir du multimédia (audio, photo, vidéo) nous annoncent l'avènement du "tout gratuit", et par cela même la mort de la vraie Culture.

Si internet rime avec liberté (peut-être plus pour longtemps) est-il concevable que seuls les spectacles vivants échappent à la règle et que toute l'industrie culturelle s'effondre ?

Qu'en pensez vous ???

PS : je répondrai aux commentaires

Maël

mercredi 27 février 2008

Les petits cinémas se font manger par les gros

Voici le lien d'un article provenant d'un blog sérieux, concernant le procès que colle l'UGC / MK2 au Méliès de Montreuil et au Comoedia de Lyon, ainsi que les actions du Collectif national de l'action culturelle cinématographique.


Bonne lecture !

lundi 25 février 2008

Flyer


[cliquez pour agrandir]



jeudi 21 février 2008

Les spectacles sont-ils trop chers ?

Ce matin sur France Inter vous avez peut-être pu écouter l'émission Service Public d'Isabelle Giordano (10h-11h). Celle-ci parlait du prix des spectacles culturels (concerts surtout), comment se fait-il que ce soit si cher, la faute à qui, est-ce possible de réduire les prix et comment ?
Quelques interventions de certains auditeurs ont parlé de la musique alternative, les petits concerts pas chers, dans les petites salles.
Voici le lien pour (ré)écouter l'émission (disponible pendant 10 jours sinon vous pourrez toujours la "podcaster").

Bonne écoute et n'hésitez pas à réagir !

mercredi 20 février 2008

Emission radio


Pour continuer à vous expliquer comment nous mettons en place ce projet, dans une deuxième partie, après le petit reportage, nous allons enregistrer une émission radio. Celle ci fera intervenir des personnes connaissant bien le milieu alternatif (associations, sociologues etc...) et sera entrecoupée de petits reportages sonores pour faire rebondir le débat. Nous essaierons via cette émission de répondre aux questions posées dans le reportage télé, et d'aller au delà. La dernière partie de l'émission répondra aux questions posées par les internautes (c'est-à-dire vous !!). Nous sommes toujours en train de chercher les quelques intervenants qui nous manque, alors si vous vous sentez concernés, n'hésitez pas !
Nous cherchons également des personnes connaissant bien les media de masse (y travaillant ou non), mais là ça devient beaucoup plus ardu !

mardi 15 janvier 2008

Sociologie des pratiques culturelles

Ce matin nous avons assister à notre cours sur la sociologie des cultures populaires, et certains éléments nous ont paru intéressant pour la problématique de notre projet. Voilà ces éléments, à vous de réagir ensuite :

Le sociologue Bernard Lahire a établit une analyse au sujet des comportements des individus dans leurs pratiques culturelles : il y a une consommation accrue des produits culturels non légitimes dans les classes sociales supérieures.
Qu’appelle-t-on pratiques « non légitimes » de la culture ?
C’est tout ce qui ne vient pas de la « haute culture », la haute culture qui correspond par exemple à la littérature classique, la musique classique, le théâtre dramatique, visite de musées, cinéma d’auteurs etc, il s'agit d'un classement établit en sociologie...
Depuis environ trente ans, les classes sociales supérieures se sentent stressées par leur travail, et éprouvent donc le besoin de se détendre après leur journée de travail (tout comme les ouvriers). C’est pourquoi on constate à la télévision et à la radio un mélange permanent des genres : il y a un affaiblissement des « frontières » entre culture et divertissement. Les gens préfèrent regarder des choses moins « prise de tête » d’où le développement d’émissions de jeux, feuilletons télévisés, ou lire des romans policiers, voir des films de comédie, d’action ou d’horreur pour se distraire.
Prenons comme exemple l’émission télévisée de Thierry Ardisson, dont les invités étaient très variés : écrivains, cinéastes, chanteurs, philosophes, acteurs se mêlaient sur le plateau. Ou bien les musées qui accueillent parfois des expositions de graffitis… Il n’y a plus vraiment de distinction entre art majeur et art mineur en raison d’une évolution des pratiques culturelles des individus.
Voilà donc un aspect de la problématique de notre projet, un angle intéressant à aborder, une autre question : est-ce finalement de « la faute » des plus diplômés si nous assistons à une dé-intellectualisation des pratiques culturelles ?